Ysabelle Lacamp
Il suffisait que sa porte s’ouvre et que je me réfugie dans ses bras pour oublier ce brouillon de culture grouillant de mensonges qu’était devenue mon existence.
Il suffisait que sa porte s’ouvre et que je me réfugie dans ses bras pour oublier ce brouillon de culture grouillant de mensonges qu’était devenue mon existence.