J’ai aimé toutes les femmes qui furent les miennes, avec le sentiment de découvrir à chaque fois un nouveau territoire. J’étais comme un marin, naviguant toutes voiles dehors, peu pressé de regagner la terre. Tant de mers à explorer ! Cela valait bien quelques naufrages.
J’ai aimé toutes les femmes qui furent les miennes, avec le sentiment de découvrir à chaque fois un nouveau territoire. J’étais comme un marin, naviguant toutes voiles dehors, peu pressé de regagner la terre. Tant de mers à explorer ! Cela valait bien quelques naufrages. Pál Sarkozy