K. L. Siana
Je perds la notion du temps, le jour ou la nuit n’est pas important. Peu importe l’endroit où je suis, tant qu’ici, ce n’est pas là-bas. Plus rien ne subsiste qu’un amas vide, un tout rempli de rien. Je ne ressens plus que la paix du néant, un trou noir de sentiments et ce vide intersidéral apaisant.