Les temps approchent où l’on ne saura plus lire ni écrire, où quelques mandarins se chuchoteront des secrets à l’oreille. Je forme le vœu que l’Académie française protège alors les personnes suspectes d’individualisme. Je rêverais que nos portes s’ouvrissent devant le singulier que le pluriel persécute.
Les temps approchent où l’on ne saura plus lire ni écrire, où quelques mandarins se chuchoteront des secrets à l’oreille. Je forme le vœu que l’Académie française protège alors les personnes suspectes d’individualisme. Je rêverais que nos portes s’ouvrissent devant le singulier que le pluriel persécute. Jean Cocteau