Antoine de Rivarol
On sait par quelle fatalité les grands talents sont, pour l’ordinaire, plus rivaux qu’amis ils croissent et brillent séparés, de peur de se faire ombrage : les moutons s’attroupent et les lions s’isolent.
On sait par quelle fatalité les grands talents sont, pour l’ordinaire, plus rivaux qu’amis ils croissent et brillent séparés, de peur de se faire ombrage : les moutons s’attroupent et les lions s’isolent.