Aristote
Mais se poser à soi-même des questions et s’étonner des phénomènes, c’est déjà savoir qu’on les ignore et voilà comment c’est être encore ami de la sagesse, c’est être philosophe que d’aimer les fables, puisque [la fable, ou] le mythee, ne se compose que d’éléments merveilleux et surprenants.