Cette passion pour les langues mortes devait retarder les progrès du goût. Les langues n’ont d’élégance qu’autant qu’il y en a dans l’esprit de ceux qui les parlent. Les esprits étaient donc bien grossiers au quinzième siècle, puisque les langues étaient grossières.
Cette passion pour les langues mortes devait retarder les progrès du goût. Les langues n’ont d’élégance qu’autant qu’il y en a dans l’esprit de ceux qui les parlent. Les esprits étaient donc bien grossiers au quinzième siècle, puisque les langues étaient grossières. Etienne Bonnot de Condillac