Le long des peupliers je marche, le front nu, – Poitrine au vent, les yeux flagellés par la pluie. – Je m’avance hagard vers le but inconnu.
Le long des peupliers je marche, le front nu, – Poitrine au vent, les yeux flagellés par la pluie. – Je m’avance hagard vers le but inconnu. Charles Cros