Adieu, je voudrais bien ne vous avoir jamais vu. Ah ! je sens vivement la fausseté de ce sentiment, et je connais dans le moment que je vous écris que j’aime mieux être malheureuse en vous aimant que de ne vous avoir jamais vu.
Adieu, je voudrais bien ne vous avoir jamais vu. Ah ! je sens vivement la fausseté de ce sentiment, et je connais dans le moment que je vous écris que j’aime mieux être malheureuse en vous aimant que de ne vous avoir jamais vu. Par Gabriel Joseph de Lavergne [Guilleragues (vicomte de])