Qui sut aimer au temps de la jeunesse, – Voudrait aimer jusqu’à son dernier jour. – Qui sut aimer, même dans sa vieillesse, – Regrette encor tant doux chagrins d’amour.
Qui sut aimer au temps de la jeunesse, – Voudrait aimer jusqu’à son dernier jour. – Qui sut aimer, même dans sa vieillesse, – Regrette encor tant doux chagrins d’amour. François Benoît Hoffmann