Amour, devant ton regard séduisant j’ai prononcé mes premiers vœux ; mes espérances, mes rêves, mon cœur étaient à toi ; mais tout cela maintenant est usé et flétri, car tes ailes sont comme celles du vent, tu ne laisses aucune trace de ton passage, si ce n’est, hélas ! tes jaloux aiguillons. Arrière ! arrière ! pouvoir décevant, tu ne présideras plus aux jours qui m’attendent, à moins que tu ne sois dépouillé de tes ailes.
Amour, devant ton regard séduisant j’ai prononcé mes premiers vœux ; mes espérances, mes rêves, mon cœur étaient à toi ; mais tout cela maintenant est usé et flétri, car tes ailes sont comme celles du vent, tu ne laisses aucune trace de ton passage, si ce n’est, hélas ! tes jaloux aiguillons. Arrière ! arrière ! pouvoir décevant, tu ne présideras plus aux jours qui m’attendent, à moins que tu ne sois dépouillé de tes ailes. Lord Byron