Moi qui, sans vous mentir, trouverais trop aisée – Quelque mort qui pour vous pût m’être proposée ; – Moi malheureuse, enfin, qui vous prie à genoux, – Moins pour l’amour de moi que pour l’amour de vous.
Moi qui, sans vous mentir, trouverais trop aisée – Quelque mort qui pour vous pût m’être proposée ; – Moi malheureuse, enfin, qui vous prie à genoux, – Moins pour l’amour de moi que pour l’amour de vous. Jean de Rotrou