C’est le malheur qui fait les vrais peintres. La joie donne des couleurs bien trop pâles, à la rigueur des aquarelles, des papiers peints, mais certes pas de grands oeuvres.
C’est le malheur qui fait les vrais peintres. La joie donne des couleurs bien trop pâles, à la rigueur des aquarelles, des papiers peints, mais certes pas de grands oeuvres. Christian Bobin