C’est le suprême don que l’amour d’une femme, – mais tout cœur qui se donne est pour d’autres perdu, – et seul en est joyeux l’égoïste et ou l’infâme.
C’est le suprême don que l’amour d’une femme, – mais tout cœur qui se donne est pour d’autres perdu, – et seul en est joyeux l’égoïste et ou l’infâme. Léon Dierx