Pour peindre l’amour, il en faudrait décrire tout le mystérieux, les fureurs étranges, et cette auréole d’oubli dont il enchante l’âme ; tel un tilleul qui répandant son ombre et son parfum enivre ceux qu’il fait dormir.
Pour peindre l’amour, il en faudrait décrire tout le mystérieux, les fureurs étranges, et cette auréole d’oubli dont il enchante l’âme ; tel un tilleul qui répandant son ombre et son parfum enivre ceux qu’il fait dormir. Paul-Jean Toulet