L’enfance, on a beau marcher dessus avec ses gros sabots de bois, c’est elle qui gifle et qui crie, et la colère n’est qu’une course vers la justice. Au bout de la vie, la colère se casse en mille miettes.
L’enfance, on a beau marcher dessus avec ses gros sabots de bois, c’est elle qui gifle et qui crie, et la colère n’est qu’une course vers la justice. Au bout de la vie, la colère se casse en mille miettes. Marie Gagnier