Je vis dans des mondes parallèles Agrippé à des tessons de bouteilles Mon esprit vit et s’enfuit Vers un infini sans bruit Mon corps grossit ou rétrécit Quand je suis seul dans mon lit.
Je vis dans des mondes parallèles Agrippé à des tessons de bouteilles Mon esprit vit et s’enfuit Vers un infini sans bruit Mon corps grossit ou rétrécit Quand je suis seul dans mon lit. Romain Werlen