La tendresse d’un amant n’est jamais une affection bienveillante, mais un appétit grossier qui cherche à se satisfaire : L’amant aime son bien-aimé, comme le loup aime l’agneau.
La tendresse d’un amant n’est jamais une affection bienveillante, mais un appétit grossier qui cherche à se satisfaire : L’amant aime son bien-aimé, comme le loup aime l’agneau. Platon