A soixante ans, on ne peut plus espérer grand-chose. Juste un peu de sympathie bienveillante. Un peu de pitié aussi, avant qu’on ne vous indique qu’il serait décent de disparaître pour laisser la place à un Roméo plus jeune.
A soixante ans, on ne peut plus espérer grand-chose. Juste un peu de sympathie bienveillante. Un peu de pitié aussi, avant qu’on ne vous indique qu’il serait décent de disparaître pour laisser la place à un Roméo plus jeune. Alice Parizeau