Chaque pas te rapproche de la vieillesse, pauvre insensée ! Tandis que tu es jeune et belle encore, ne veux-tu pas jouir de ta beauté et jouir de l’ivresse qu’elle saurait donner et que l’on te payerait en paroles d’amour ?.
Chaque pas te rapproche de la vieillesse, pauvre insensée ! Tandis que tu es jeune et belle encore, ne veux-tu pas jouir de ta beauté et jouir de l’ivresse qu’elle saurait donner et que l’on te payerait en paroles d’amour ?. Adélaïde-Louise d’Eckmühl de Blocqueville