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Si j’écrivais un roman policier, moi, on n’arrêterait pas le coupable, car dans la vie on n’arrête jamais le vrai coupable, il faudrait nous arrêter tous !.

janvier 21, 2011 Frédérick Jézégou

Si j’écrivais un roman policier, moi, on n’arrêterait pas le coupable, car dans la vie on n’arrête jamais le vrai coupable, il faudrait nous arrêter tous !. Daniel Boulanger

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← Le père, pour moi, à différentes époques et quand je rencontrais ceux des autres, avait quand même cette présence des nuages avant la pluie, la lourdeur qui vous enveloppe et précède l’orage, le lointain gris d’où partent les rayons raides des gloires au-dessus des maîtres-autels, mais la pluie n’était que l’apaisant oubli et la représentation d’une présence divine que l’humide caresse des voûtes de l’église ou ma mère ne m’amena bientôt plus, abandonnée, fermée sur elle-même et gardant la rumeur élémentaire que l’on écoute dans les beaux coquillages de la couleur des chairs entrouvertes.
La délation est le premier devoir d’un républicain. Les bons auteurs vous le diront. C’est aussi le premier article de la tyrannie. →

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