L’homme moderne se promène à travers les pauvres, enjambe les mendiants, convaincu que son sacrifice au travail justifie son indifférence. Mieux, il arrive à se convaincre que, s’ils sont pauvres, c’est parce qu’ils refusent le sacrifice.
L’homme moderne se promène à travers les pauvres, enjambe les mendiants, convaincu que son sacrifice au travail justifie son indifférence. Mieux, il arrive à se convaincre que, s’ils sont pauvres, c’est parce qu’ils refusent le sacrifice. Jean Bédard