Ah ces romans ! Ces diableries de phrases qui vous emportent et ne vous lâchent plus ! Dès que la lecture m’a enlevée, j’ai eu besoin de conserver des mots, besoin de les recopier dans un cahier, comme si je mettais mes pas dans ceux des écrivains que j’aimais.
Ah ces romans ! Ces diableries de phrases qui vous emportent et ne vous lâchent plus ! Dès que la lecture m’a enlevée, j’ai eu besoin de conserver des mots, besoin de les recopier dans un cahier, comme si je mettais mes pas dans ceux des écrivains que j’aimais. Frédérique Deghelt