Chemin faisant, pourquoi ne pas mener bataille contre l’inflation du langage qui fait d’une lycéen de seconde un « étudiant », d’un instituteur un « professeur », d’un aveugle un « non-voyant », d’un sourd un « malentendant », et pourquoi pas un « non-entendant » ? Le muet n’est pas encore un « non-parlant », mais ça ne saurait tarder !.
Chemin faisant, pourquoi ne pas mener bataille contre l’inflation du langage qui fait d’une lycéen de seconde un « étudiant », d’un instituteur un « professeur », d’un aveugle un « non-voyant », d’un sourd un « malentendant », et pourquoi pas un « non-entendant » ? Le muet n’est pas encore un « non-parlant », mais ça ne saurait tarder !. Jacques Capelovici