Le désespoir, lui-même, pour peu qu’il se prolonge, devient une sorte d’asile dans lequel on peut s’asseoir et reposer.
Le désespoir, lui-même, pour peu qu’il se prolonge, devient une sorte d’asile dans lequel on peut s’asseoir et reposer. [ Charles-Augustin Sainte-Beuve – Source : Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme ]