Ni le soir calme, ni les palmes immobiles, – Ni les astres montant comme de lentes bulles, – Rien ne me distraira de la source où se mire – Son blanc visage au vert de la fraîche ramures.
Ni le soir calme, ni les palmes immobiles, – Ni les astres montant comme de lentes bulles, – Rien ne me distraira de la source où se mire – Son blanc visage au vert de la fraîche ramures. Tristan Derème