J’aime le son du cor, le soir, au fond des bois, – Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abois, – Ou l’adieu du chasseur que l’écho faible accueille, – Et que le vent du nord porte de feuille en feuille.
J’aime le son du cor, le soir, au fond des bois, – Soit qu’il chante les pleurs de la biche aux abois, – Ou l’adieu du chasseur que l’écho faible accueille, – Et que le vent du nord porte de feuille en feuille. Alfred de Vigny