Quand on a appris à revoir le monde comme un vrai voyageur de la mort qui voit enfin se défaire les choses mais qui sait qu’il est le maître de leur déroute et de leur défection, ce jour-là on est bien près de la sécurité dernière, infrangible et du vrai bonheur.
Quand on a appris à revoir le monde comme un vrai voyageur de la mort qui voit enfin se défaire les choses mais qui sait qu’il est le maître de leur déroute et de leur défection, ce jour-là on est bien près de la sécurité dernière, infrangible et du vrai bonheur. Antonin Artaud