Quand tout gisait en ruine, seuls brillaient les mots. Si tous les princes s’étaient ravalés, le crédit échéait aux poètes. C’était à eux, non aux puissants, qu’appartenait l’immortalité.
Quand tout gisait en ruine, seuls brillaient les mots. Si tous les princes s’étaient ravalés, le crédit échéait aux poètes. C’était à eux, non aux puissants, qu’appartenait l’immortalité. Günter Grass