Fouille mon coeur, ce coeur que tu dédaignes. Et, qui pourtant, n’est peuplé que de toi. Et tu verras, mon amour, que tu règnes. Sur un pays dont nul homme n’est roi !.
Fouille mon coeur, ce coeur que tu dédaignes. Et, qui pourtant, n’est peuplé que de toi. Et tu verras, mon amour, que tu règnes. Sur un pays dont nul homme n’est roi !. Théophile Gautier