Mon cœur s’en ressouvient encore ; A la sensible Eléonore Je dois les plus beaux de mes jours. Jours heureux ! maîtresse charmante ! O combien fut douce et brillante La jeunesse de nos Amours !.
Mon cœur s’en ressouvient encore ; A la sensible Eléonore Je dois les plus beaux de mes jours. Jours heureux ! maîtresse charmante ! O combien fut douce et brillante La jeunesse de nos Amours !. Évariste Parny