Mais le péril passé, l’on ne se souvient guère. De ce qu’on a promis aux Cieux ; On compte seulement ce qu’on doit à la terre.
Mais le péril passé, l’on ne se souvient guère. De ce qu’on a promis aux Cieux ; On compte seulement ce qu’on doit à la terre. La Fontaine