Mais quand tu seras seul, quand tu auras besoin de prier et de pleurer, tu penseras à ton George, à ton vrai camarade, à ton infirmière, à ton ami, à quelque chose de mieux que tout cela ; car le sentiment qui nous unit s’est formé de tant de choses, qu’il ne peut se comparer à aucun autre. Le monde n’y comprendra jamais rien, tant mieux, nous nous aimerons, et nous nous moquerons de lui.
Mais quand tu seras seul, quand tu auras besoin de prier et de pleurer, tu penseras à ton George, à ton vrai camarade, à ton infirmière, à ton ami, à quelque chose de mieux que tout cela ; car le sentiment qui nous unit s’est formé de tant de choses, qu’il ne peut se comparer à aucun autre. Le monde n’y comprendra jamais rien, tant mieux, nous nous aimerons, et nous nous moquerons de lui. George Sand