Avec la télévision, il n’y a plus qu’un flux permanent, un ruissellement ininterrompu, tout coule et rien ne reste. L’œil ne contemple plus, il avale.
Avec la télévision, il n’y a plus qu’un flux permanent, un ruissellement ininterrompu, tout coule et rien ne reste. L’œil ne contemple plus, il avale. Alain Finkielkraut