Tout étant, par effet, commun entre eux, volontés, pensements, jugements, biens, femmes, enfants, honneur et vie, et leur convenance n’étant qu’une âme en deux corps, selon la très propre définition d’Aristote, ils ne se peuvent ni prêter ni donner rien.
Tout étant, par effet, commun entre eux, volontés, pensements, jugements, biens, femmes, enfants, honneur et vie, et leur convenance n’étant qu’une âme en deux corps, selon la très propre définition d’Aristote, ils ne se peuvent ni prêter ni donner rien. Montaigne