L’artiste instruit qui connait bien les convenances, doit sentir combien les tendres sollicitudes de l’amour maternel ressemblent peu au délire de l’amour profane ; les chants de romance le dégraderaient, un chant vague ne l’exprimerait pas assez, puisque le cœur d’une mère est le sanctuaire de la nature ;.
L’artiste instruit qui connait bien les convenances, doit sentir combien les tendres sollicitudes de l’amour maternel ressemblent peu au délire de l’amour profane ; les chants de romance le dégraderaient, un chant vague ne l’exprimerait pas assez, puisque le cœur d’une mère est le sanctuaire de la nature ;. André Ernest Modeste Grétry
Un temple que rien ne profane