Et puis passe encore d’être seul aux heures de travail ; mais il ya les moments d’ennui, de découragement, où on doute de soi, de son art. C’est alors qu’on doit être heureux de trouver là, toujours prêt et fidèle, un cœur aimant où l’on peut épancher son chagrin, sans crainte de troubler une confiance, un enthousiasme inaltérable.
Et puis passe encore d’être seul aux heures de travail ; mais il ya les moments d’ennui, de découragement, où on doute de soi, de son art. C’est alors qu’on doit être heureux de trouver là, toujours prêt et fidèle, un cœur aimant où l’on peut épancher son chagrin, sans crainte de troubler une confiance, un enthousiasme inaltérable. Alphonse Daudet