Salut ; c’est le printemps ! c’est l’ange de tendresse ! Ne devinez-vous pas pourquoi je bous d’ivresse ? Ange de ma grand’mère, ange de mon berceau, Ne devinez-vous pas que je deviens oiseau, Que ma lyre frissonne.
Salut ; c’est le printemps ! c’est l’ange de tendresse ! Ne devinez-vous pas pourquoi je bous d’ivresse ? Ange de ma grand’mère, ange de mon berceau, Ne devinez-vous pas que je deviens oiseau, Que ma lyre frissonne. Arthur Rimbaud