Je n’y peux rien : plus elle me repousse et plus je l’adore. Le feu d’artifice qui embrasait nos corps est devenu un cancer qui me ronge, mais je l’assume. Je refuse la chimio de l’oubli. Mieux vaut mourir de ce qu’on aime, en connaissance de cause, que de survivre pour rien.
Je n’y peux rien : plus elle me repousse et plus je l’adore. Le feu d’artifice qui embrasait nos corps est devenu un cancer qui me ronge, mais je l’assume. Je refuse la chimio de l’oubli. Mieux vaut mourir de ce qu’on aime, en connaissance de cause, que de survivre pour rien. Didier van Cauwelaert