Je rêve, je rêve et je déraille, et puis flûte ! Je me sens dans un soir un peu lyrique, après deux jours de Paris avec des gens raisonnables, pratiques et tellement bien établis dans la vie qu’ils en meurent à toute vitesse, étant même, horreur, conscients de ce qui leur arrive. Il n’y a pas de farce possible pour eux.
Je rêve, je rêve et je déraille, et puis flûte ! Je me sens dans un soir un peu lyrique, après deux jours de Paris avec des gens raisonnables, pratiques et tellement bien établis dans la vie qu’ils en meurent à toute vitesse, étant même, horreur, conscients de ce qui leur arrive. Il n’y a pas de farce possible pour eux. Françoise Sagan