Jusqu’à quel degré de métamorphose reste-t-on soi ? La seule certitude que l’on a vis-à-vis du trépas est la disparition de l’enveloppe charnelle. Que ce soit le bistouri ou les petits vers qui s’en chargent n’y changerait peut-être rien.
Jusqu’à quel degré de métamorphose reste-t-on soi ? La seule certitude que l’on a vis-à-vis du trépas est la disparition de l’enveloppe charnelle. Que ce soit le bistouri ou les petits vers qui s’en chargent n’y changerait peut-être rien. Amélie Nothomb