Les flatteurs trouvent leur compte auprès des grands, comme les médecins auprès des malades imaginaires ; ceux-ci payent pour les maux qu’ils n’ont pas, et les autres pour des vertus qu’ils devraient avoir.
Les flatteurs trouvent leur compte auprès des grands, comme les médecins auprès des malades imaginaires ; ceux-ci payent pour les maux qu’ils n’ont pas, et les autres pour des vertus qu’ils devraient avoir. Étienne Coenilhé