Ce qui me donne à penser que, chez les amants, la part du cœur ne peut pas être réduite à une illusion des sens, c’est qu’il m’arriva, dans ma jeunesse, de souffrir par l’abandon d’une femme.
Ce qui me donne à penser que, chez les amants, la part du cœur ne peut pas être réduite à une illusion des sens, c’est qu’il m’arriva, dans ma jeunesse, de souffrir par l’abandon d’une femme. Maurice Chapelan