Il faudrait donc toujours mourir. Mourir, mourir. C’était ça : il faudrait mourir… Je me souviens de l’amour, de la mort. On a beau dire, une fois qu’on a pris conscience des deux, de la paire odieuse et vitale, il ne reste plus beaucoup d’espoirs à ronger. La vie vous a enfumé, elle vous a fait miroiter ses plus beaux profils et puis soudainement, elle vous a dit, méchanceté, déréliction, supplice, elle vous annonce comme ça, que votre vie de derrière est finie.
Il faudrait donc toujours mourir. Mourir, mourir. C’était ça : il faudrait mourir… Je me souviens de l’amour, de la mort. On a beau dire, une fois qu’on a pris conscience des deux, de la paire odieuse et vitale, il ne reste plus beaucoup d’espoirs à ronger. La vie vous a enfumé, elle vous a fait miroiter ses plus beaux profils et puis soudainement, elle vous a dit, méchanceté, déréliction, supplice, elle vous annonce comme ça, que votre vie de derrière est finie. Marien Defalvard