Ce qui est bien, avec les chevaux, c’est qu’on n’est jamais au bout de nos rêves. Ils s’ajoutent les uns aux autres et finissent par former une sorte d’extraordinaire et invisible tour de Babel dont le sommet est inaccessible, même au plus grand des écuyers.
Ce qui est bien, avec les chevaux, c’est qu’on n’est jamais au bout de nos rêves. Ils s’ajoutent les uns aux autres et finissent par former une sorte d’extraordinaire et invisible tour de Babel dont le sommet est inaccessible, même au plus grand des écuyers. Jérôme Garcin