Tout est affaire de décor – Changer de lit changer de corps – À quoi bon puisque c’est encore – Moi qui moi-même me trahis – Moi qui me traîne et m’éparpille – Et mon ombre se déshabille – Dans les bras semblables des filles – Où j’ai cru trouver un pays.

Une pensée sur “Tout est affaire de décor – Changer de lit changer de corps – À quoi bon puisque c’est encore – Moi qui moi-même me trahis – Moi qui me traîne et m’éparpille – Et mon ombre se déshabille – Dans les bras semblables des filles – Où j’ai cru trouver un pays.”

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  Cochonfucius

  avril 27, 2012 à 2:48

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  Pays où l'on n'arrive jamais.

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