Le silence est à l’âme ce que le sommeil est au corps. En interrompant toute relation de l’esprit et du cœur avec les objets extérieurs, il force en quelque sorte l’âme de se replier sur elle-même.
Le silence est à l’âme ce que le sommeil est au corps. En interrompant toute relation de l’esprit et du cœur avec les objets extérieurs, il force en quelque sorte l’âme de se replier sur elle-même. Elphège Vacandard