Ah ! je te reconnais bien là, et je n’espérais pas. Pouvoir fléchir ce cœur de fer qui loge en ta poitrine, Mais crains que je n’attire le courroux du ciel sur toi.
Ah ! je te reconnais bien là, et je n’espérais pas. Pouvoir fléchir ce cœur de fer qui loge en ta poitrine, Mais crains que je n’attire le courroux du ciel sur toi. Homère