J’ai toujours professé que, mariage ou concubinage, la cohabitation condamne l’amour à mort, l’assassine lâchement au compte-gouttes. Seule une tendresse de forte constitution peut y survivre, mais pas l’éclaboussement, le paroxysme.
J’ai toujours professé que, mariage ou concubinage, la cohabitation condamne l’amour à mort, l’assassine lâchement au compte-gouttes. Seule une tendresse de forte constitution peut y survivre, mais pas l’éclaboussement, le paroxysme. René Fallet