Les grands textes se suffisent à eux mêmes. Tout est dit dans l’écriture. Si l’on éprouve le besoin d’en rajouter, il y a de fortes chances pour que l’on ne soit pas dedans. C’est un des paradoxes du comédien : lui, le maître de jeu, quand il se retrouve face à un grand texte, doit s’efforcer de ne rien ajouter qui ne soit le texte lui même. Lorsque le texte est moins bon, on peut éventuellement compléter, enrichir, achever.
Les grands textes se suffisent à eux mêmes. Tout est dit dans l’écriture. Si l’on éprouve le besoin d’en rajouter, il y a de fortes chances pour que l’on ne soit pas dedans. C’est un des paradoxes du comédien : lui, le maître de jeu, quand il se retrouve face à un grand texte, doit s’efforcer de ne rien ajouter qui ne soit le texte lui même. Lorsque le texte est moins bon, on peut éventuellement compléter, enrichir, achever. Noiret